À Propos de Paul Jacquet

Avant de commencer à travailler avec un prestataire, il est normal de se poser des questions sur lui. Voilà pourquoi j'ai décidé de dégourdir mes petits doigts et de troquer ma caméra contre un clavier d'ordinateur. Le but étant de vous raconter mon parcours et mon histoire afin que l'on fasse un peu plus connaissance.

Certains vidéastes ont découvert la vidéo sur le tard, un peu par hasard. D'autres dans le cadre d'une reconversion professionnelle. Mais pour moi, ce fut différent.

Lorsque j'avais 11 ans, ma mÚre m'a offert le plus mémorable des cadeaux de Noël : un Caméscope.

À cette Ă©poque, rĂ©aliser des vidĂ©os n'avait rien Ă  voir avec aujourd'hui. Il ne suffisait pas de sortir son tĂ©lĂ©phone pour immortaliser des Ă©pisodes du quotidien. Nous Ă©tions Ă  l’aube de la vidĂ©o numĂ©rique. Lorsqu'on avait un CamĂ©scope entre les mains, on avait la sensation d'ĂȘtre un vĂ©ritable professionnel. Et pour le montage des vidĂ©os, j’empruntais (sans lui dire
) le vieux MacBook de mon pĂšre pour m’amuser avec iMovie. Quand j’y repense, qu’est-ce que les outils ont bien Ă©voluĂ© depuis !

Je suis alors entré dans un nouvel univers. Un monde que je ne connaissais pas.

J'inventais des scĂ©narios le soir quand j'Ă©tais dans mon lit. Je dessinais des storyboards sans savoir ce que c'Ă©tait. Puis le matin, je partais sur les lieux de mes tournages, en forĂȘt ou dans le jardin avec tous les accessoires qui me tombaient sous la main.

J'attribuais le premier rĂŽle Ă  un playmobil. Je construisais un bĂątiment avec du sable. Et un monde miniature apparaissait devant mon objectif comme quelque chose de beaucoup plus grand. Un monde oĂč les jouets vivent des aventures trĂ©pidantes.

Alors, que certains enfants se contentent de raconter des histoires avec leurs jouets, moi je les enregistrais dans le but d'en faire des films et de les montrer Ă  mes parents. Chaque projection de mon dernier court-mĂ©trage Ă©tait comme un festival de Cannes Ă  la maison. J'Ă©tais persuadĂ© que l'on se demanderait comment j'avais pu rĂ©aliser de tels effets spĂ©ciaux. Quand on est enfant, chaque critique est vĂ©cue comme un Ă©chec. Je voulais l’approbation de mes parents pour m’encourager Ă  continuer. Et c’est ce qu’ils faisaient.

Arrivé à ce stade, vous vous dites certainement que j'étais destiné à devenir un grand réalisateur, le prochain Steven Spielberg. Mais pas du tout.

J’ai continuĂ© de grandir et le CamĂ©scope s'est retrouvĂ© au fond d'un placard.

Puis un jour il a été vendu lors d'un vide-grenier pour quelques euros. Et parce qu'il faut devenir adulte, je me suis orienté vers ce que certains appellent un "vrai métier", et j'ai mis la vidéo de cÎté.

C'est ainsi que je me suis retrouvĂ© en fac de biologie. Étant fils de guide de montagne, j'ai toujours aimĂ© accompagner mes parents en randonnĂ©e pour prendre le temps d'admirer les paysages et en apprendre plus sur les plantes et les animaux. Une fois arrivĂ© en terminale, j’ai dĂ» prendre une dĂ©cision sur ce que je ferais aprĂšs le BAC.

J’aimais la nature, les animaux donc il me paraissait logique d'aller en FAC de biologie.

À peine arrivĂ©, j'ai rapidement dĂ©chantĂ©. Durant les semaines qui ont suivies la rentrĂ©e scolaire, on Ă©tudiait les chaĂźnes de molĂ©cules et la partie microscopique de ce qui compose les ĂȘtres vivants. MĂȘme si cela est intĂ©ressant, j'ai rĂ©alisĂ© une chose: ce qui me passionnait ce n'Ă©tait pas l'Ă©tude approfondie de la nature, mais
 Être dans la nature pour l'admirer.

J'aimais aller sur le terrain au contact des animaux, au milieu de beaux paysages.

Pour ĂȘtre franc, cette Ă©poque m'a quelque peu bouleversĂ©. Pour moi c'Ă©tait la derniĂšre ligne droite avant de rentrer dans la vie active, et tout semblait m'Ă©chapper. Seulement 2 mois aprĂšs avoir intĂ©grĂ© la FAC de biologie, j'arrĂȘtais tout pour faire le point sur ma vie. Qui j'Ă©tais vraiment et qu'est-ce que j'allais faire de mon avenir ? Le moment Ă©tait venu de prendre quelques mois sabbatiques.

Alors que j'Ă©tais chez moi, je tournais en rond, je m'ennuyais et ma tĂȘte se vidait peu Ă  peu. Et vous savez quoi ? Ça me faisait du bien. Puis je me suis souvenu de toutes ces vidĂ©os que j'avais pu tourner quand j'Ă©tais petit. Je repensais Ă  cette belle Ă©poque oĂč je ne me posais pas toutes ces questions. Vous savez, lorsqu'on est petit, on rĂ©flĂ©chit comme des tout-petits. Rien ne semble impossible et surtout... On fait ce qu'il nous plaĂźt. L'esprit ne connaĂźt pas encore les limites imposĂ©es par le systĂšme dans lequel on Ă©volue.

C’est en voulant me replonger dans ces bonnes Ă©motions que je suis allĂ© faire un tour Ă  la FNAC, oĂč j’ai achetĂ© une camĂ©ra.

Si aujourd'hui je voyage Ă  travers le monde pour capturer les plus beaux instants que nous offre la nature
 Ce n’était pas le cas lorsque j’ai repris la vidĂ©o. À l’époque j’étais fan de basketball (et je le suis toujours d'ailleurs). Je passais alors l’essentiel de mon temps libre Ă  regarder des matchs de basket sur des chaĂźnes TV amĂ©ricaines. Du coup, lorsqu’on se retrouvait sur le terrain avec les potes, on essayait de reproduire les mĂȘmes exploits. Je dis bien que l’on “essayait”.

Pour un vidĂ©aste amateur comme moi, c’était une occasion en or pour rĂ©aliser des films de nos plus belles parties. Tous les ingrĂ©dients y Ă©taient ! De l’action, du suspense, des rires.

J'ai dĂ©couvert le montage vidĂ©o sur ordinateur avec des logiciels simples comme iMovie. C'Ă©tait limitĂ©, mais en mĂȘme temps suffisant pour compiler les meilleurs instants en y ajoutant une bande-son. Je faisais des ralentis des plus beaux paniers. Je mettais la musique qu’il fallait pour les plans tournĂ©s en contre-plongĂ©e. Et comme lors des dĂźners de famille quand j'avais 11 ans, je suis retournĂ© chez mes parents pour leur partager mes crĂ©ations. Sauf que cette fois-ci j'avais remplacĂ© mon bon vieux CamĂ©scope rouge contre un fichier sur une clĂ© USB.

Si vous voyez ma tĂȘte Ă  l'instant oĂč je vous Ă©cris ces anecdotes ! J'ai un sourire qui monte jusqu'aux oreilles.

C'est aprÚs l'une de ces séances de projection privée que mon pÚre m'a dit: "Paul, pourquoi tu ne te lancerais pas dans des études pour apprendre le métier de vidéaste ?" C'est le déclic qu'il me manquait et mon pÚre venait de le provoquer sans s'en rendre compte.

Nous sommes alors en 2018. Je n'arrive pas Ă  croire que je me reconvertis professionnellement avant l'heure. AprĂšs quelques recherches, j'attaque ma rentrĂ©e en septembre de la mĂȘme annĂ©e dans un IUT MMI c'est-Ă -dire les mĂ©tiers du multimĂ©dia. Je passe alors d'amateur Ă  "amateur qui se professionnalise".

Contrairement à ma rentrée en FAC de biologie, je me régale. Je suis comme un poisson dans l'eau. Je passe mes journées à approfondir les techniques de la création vidéo. Je me forme aux étapes de pré-production, de production et de montage. Quelques mois plus tard, je réalise les premiers projets vidéos pour des clients.

Le bouche-Ă -oreille se rĂ©pand comme une traĂźnĂ©e de poudre. À tel point que je lance PAJAPROD.

Janvier 2019. Je reçois de plus en plus de demandes en tout genre. Films de mariage, reportages d'entreprise, spots publicitaires, vidéos pour des chaßnes YouTube, etc. Je commence à vivre de ma principale compétence: la vidéo. Progressivement, des missions me permettent de passer plus de temps au contact de la nature.

Mon coup de cƓur : la vidĂ©o Outdoor.

Quel style de vidéo permet à un vidéaste de vivre une aventure sauvage tout en captant des images incroyables ? Réponse : la vidéo de voyage.

Aujourd’hui, j’ai la chance de voyager Ă  travers le monde pour y tourner des carnets de voyage (Mongolie, SibĂ©rie, Tenerife, Madagascar, etc.). Je suis devenu ce que l’on appelle un « filmmaker travel ». À chaque voyage, j’emporte mon drone pour capter des prises de vue aĂ©rienne et ainsi voir le paysage sous un angle inĂ©dit.

Chaque shooting vidĂ©o rĂ©alisĂ© au sol permet aux spectateurs de rencontrer une nouvelle culture comme s’ils Ă©taient Ă  mes cĂŽtĂ©s. C’est un moment de partage touchant et Ă©mouvant, que seule la vidĂ©o de voyage peut offrir.

Je prends Ă©galement beaucoup de plaisir Ă  rĂ©aliser des films de mariage, des spots publicitaires et des reportages. Les diffĂ©rentes techniques de prise de vue que permet la rĂ©alisation des vidĂ©os de voyage, rĂ©ussissent Ă  apporter une petite touche d’évasion Ă  chacun de vos projets.

Par exemple, votre vidĂ©o de mariage peut associer une vidĂ©o par drone avec une interview et des plans rapprochĂ©s pour attirer l’attention sur certains dĂ©tails du dĂ©cor.

De la mĂȘme maniĂšre, vos reportages d’entreprises peuvent avoir un angle trĂšs diffĂ©rent de ce que font vos concurrents. Mon expĂ©rience de terrain pour filmer en extĂ©rieur et mon Ă©quipement adaptĂ© me permettent de maĂźtriser la vidĂ©o en dehors des conditions de studio. De quoi donner des couleurs et une touche d’aventure Ă  chacune de vos idĂ©es de crĂ©ation vidĂ©o.

Peu importe votre projet, je peux vous aider Ă  immortaliser les instants de vos choix.

Vous aimeriez que l’on en parle ?

Je suis impatient de tourner vos prochaines vidéos !
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